© Lara Kramer

Lara Kramer — Souvenirs qui se déploient

31 mars au 4 avril 2025

9 h 30 à 12 h 30 (lun.-ven.)
Prix pour la semaine : 95 $ (taxes incluses)
Prix pour la classe : 28 $ (disponible un mois avant)
Langue d’enseignement : franglais (mélange de français et anglais)
Les questions peuvent être posées dans les deux langues, ma réponse dépendra du contenu même si les deux langues seront utilisées.

INSCRIPTION

LISTE D’ATTENTE

Cet atelier est favorable au port du masque afin de répondre aux besoins en matière d’accessibilité des enseignant·es et des participant·es. En savoir plus sur notre politique d’Accessibilité liée aux masques.


CATÉGORIE

OBJECTIF

Ensemble, nous accueillerons un espace d’expérimentation et de pratique de l’imagination. Un atelier créatif ouvert aux créateur·rices d’expérimentations, de performance, d’arts visuels et sonores ainsi qu’aux rêveur·euses. 

Souvenirs qui se déploient invite les participant·es à dialoguer avec des souvenirs, des rêves et des désirs futurs. À la recherche de possibilités infinies. Nous introduirons des objets, de la matière et de la matérialité dans la pratique et explorerons généreusement ce qui fait écho et ce qui se transforme. Nous ferons des enregistrements Lo-fi. Nous allons jouer, trouver du plaisir et déployer doucement nos souvenirs à travers nos partitions rythmiques.  

CONTENU

En travaillant avec la temporalité et la relationnalité, nous accorderons du temps pour réinventer, jouer, s’enflammer et être curieux·euses. Nous chercherons à cultiver une conscience accrue du son, de la décélération, de la texture et des sensations en développant les notions d’incarnation. Nous travaillerons avec une pratique guidée et nous aurons beaucoup de temps pour l’expérimentation et le témoignage de l’expérimentation. 

Rythmes de l’atelierCaractéristiques de l’atelier

Variable
Adaptable aux besoins du groupe

Des exercices adaptables

BIOGRAPHIE 

Lara Kramer est une interprète, chorégraphe et artiste multidisciplinaire d’origine mixte oji-crie et d’héritage colonial, qui a grandi à London, en Ontario. Elle vit et travaille à Tiohtià:ke/Mooniyang/Montréal. Au cours des quinze dernières années, son travail chorégraphique, ses recherches et son travail sur le terrain ont été fondés sur les relations intergénérationnelles, le savoir intergénérationnel et les répercussions des pensionnats réservés aux personnes autochtones du Canada. Elle est la première génération de sa famille à ne pas avoir fréquenté les pensionnats. La relation de Kramer avec la pratique expérientielle et le processus créatif de la performance, du développement sonore et de la conception visuelle est ancrée dans l’incarnation d’expériences telles que les rêves, les souvenirs, la connaissance et la réclamation. Ses créations sous forme de danse, de performance et d’installation ont été présentées au Canada et en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Martinique, en Norvège, en Autriche, aux États-Unis et au Royaume-Uni.